Adapter aux nouveaux usages en respectant le patrimoine:
La société change de plus en plus vite et les usages des bâtiments doivent suivre.
Le potentiel de ce marché prometteur est « tiré » par des moteurs puissants : la rénovation énergétique devient un enjeu majeur, l’adaptation de l’accessibilité devrait s’intensifier avec le vieillissement de la population.
Un bâti existant peut être valorisé ou modernisé. Plutôt que de raser et de reconstruire, il est intéressant d’intervenir dans une logique d’optimisation des consommations futures mais aussi de respect de ce qui a déjà été fait.
Il est de notre devoir en tant qu’architectes de faire une analyse juste de la qualité du patrimoine et d’assurer sa continuité en lui donnant une nouvelle image, une nouvelle vie. Il y a un travail de recherche, un historique à faire. Il faut respecter le système constructif et la personnalité de la conception d’origine.
Ensuite, il y a des compromis à faire avec des notions subjectives qui entrent en jeu, notamment au niveau des éléments représentatifs d’une époque à conserver et de son intégration dans la société moderne.
Une volonté de réinventer l’architecture:
Dans ce contexte, nous utiliserons le mot « ré-architecture » parce que nous estimons que la démarche est très différente de la réhabilitation, de la restructuration ou de la rénovation.
Autrefois, sur un projet de réhabilitation on pensait « refaire à neuf » en changeant les matériaux : revêtements de sols, peintures, plafonds, équipements techniques…
Alors que la rénovation et la réhabilitation se limitent à une remise aux normes techniques et esthétiques, la « ré-architecture » réinvente l’usage d’un bâtiment tout en effectuant ces mises aux normes nécessaires. On s’interroge de façon plus globale en intégrant cette notion de requalification architecturale.
Il s’agit de réinventer une nouvelle vie au bâti par la transformation, l’adaptation, la réorganisation des espaces, la modification ou l’amélioration de l’image, les évolutions techniques et réglementaire.
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L'agence Art.fi.tech © s'efforce depuis de nombreuses années à suivre et a intégrer ce processus dans ces dernières réalisations architecturales, dans une logique du respect de l'environnement et du développement économique de notre société.
CEREMONIE INTERNATIONALE DU 11 NOVEMBRE 2018
84 chefs d’États, de gouvernements et d'organisations internationales étaient présents à Paris pour commémorer le 11 Novembre parmi eux Emmanuel Macron, Donald Trump, Angela Merkel, Vladimir Poutine, Benjamin Netanyahou, Recep ErdoÄŸan, Justin Trudeau, Mohammed VI du Maroc, António Guterres, Leo Varadkar, Mark Rutte, Philippe VI d'Espagne, Charles Michel, Marcelo Rebelo de Sousa, Sergio Mattarella, Henri de Luxembourg, Albert II de Monaco, Jean-Claude Juncker, Christine Lagarde, etc.
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À 11 heures, la centaine de chefs d'État, de gouvernement et de dignitaires se sont réunis à l'arc de triomphe de l'Étoile pour une lecture de la liste des noms et âges des soldats décédés dans l'exercice de leur mission dans les 12 derniers mois. Le chef de l'État français a rendu hommage au soldat inconnu.
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Le violoncelliste américain d’origine chinoise Yo-Yo Ma a interprété la Sarabande de la Suite no 5 pour violoncelle en do mineur de Jean-Sébastien Bach et des lycéens ont ensuite lu des témoignages de 1918. Yo-Yo Ma et le violoniste Renaud Capuçon ont joué un extrait très tourmenté du 2e mouvement de la Sonate pour violon et violoncelle de Maurice Ravel. La chanteuse béninoise Angélique Kidjo, a ensuite chanté la chanson togolaise Blewu en hommage aux tirailleurs sénégalais et aux troupes coloniales. Puis, le président Emmanuel Macron a tenu un discours sous l'Arc de triomphe, face à la flamme du soldat inconnu. Pour terminer, l'orchestre des jeunes de l'Union européenne clôturait la cérémonie avec le Boléro de Ravel.