Adapter aux nouveaux usages en respectant le patrimoine:
La société change de plus en plus vite et les usages des bâtiments doivent suivre.
Le potentiel de ce marché prometteur est « tiré » par des moteurs puissants : la rénovation énergétique devient un enjeu majeur, l’adaptation de l’accessibilité devrait s’intensifier avec le vieillissement de la population.
Un bâti existant peut être valorisé ou modernisé. Plutôt que de raser et de reconstruire, il est intéressant d’intervenir dans une logique d’optimisation des consommations futures mais aussi de respect de ce qui a déjà été fait.
Il est de notre devoir en tant qu’architectes de faire une analyse juste de la qualité du patrimoine et d’assurer sa continuité en lui donnant une nouvelle image, une nouvelle vie. Il y a un travail de recherche, un historique à faire. Il faut respecter le système constructif et la personnalité de la conception d’origine.
Ensuite, il y a des compromis à faire avec des notions subjectives qui entrent en jeu, notamment au niveau des éléments représentatifs d’une époque à conserver et de son intégration dans la société moderne.
Une volonté de réinventer l’architecture:
Dans ce contexte, nous utiliserons le mot « ré-architecture » parce que nous estimons que la démarche est très différente de la réhabilitation, de la restructuration ou de la rénovation.
Autrefois, sur un projet de réhabilitation on pensait « refaire à neuf » en changeant les matériaux : revêtements de sols, peintures, plafonds, équipements techniques…
Alors que la rénovation et la réhabilitation se limitent à une remise aux normes techniques et esthétiques, la « ré-architecture » réinvente l’usage d’un bâtiment tout en effectuant ces mises aux normes nécessaires. On s’interroge de façon plus globale en intégrant cette notion de requalification architecturale.
Il s’agit de réinventer une nouvelle vie au bâti par la transformation, l’adaptation, la réorganisation des espaces, la modification ou l’amélioration de l’image, les évolutions techniques et réglementaire.
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L'agence Art.fi.tech © s'efforce depuis de nombreuses années à suivre et a intégrer ce processus dans ces dernières réalisations architecturales, dans une logique du respect de l'environnement et du développement économique de notre société.
Fabrice IMBROSCIANO
Architecte DPLG & Scénographe
Je suis est né le 20 Janvier 1967 à Nevers dans la Nièvre et fait mes études secondaires à Reims dans la Marne. J’ai obtienu mon diplôme d’architecte D.P.L.G. de l’Ecole d’Architecture Paris-Tolbiac (U.P. 7) en 1991, ainsi qu’un CAP en Charpente bois. J’ai débuté ma carrière d’Architecte chez le couturier André Courrèges durant 2 ans, pour ensuite collaborer avec l’Architecte en Chef des Monuments Historiques du Château de Versailles de 1992 à 1999. En 2000, j’ai pu intégrer le service de l’Equipement et de la Logistique Diplomatique du Ministère des Affaires Etrangères en tant qu’architecte, pour assurer l’entretien et la rénovation des ambassades de France présentant un intérêt patrimonial, et effectuer l’assistance à Maîtrise d’ouvrage en tant qu’expert Architecte de tous les aménagements évènementiels diplomatiques.
En 2001, j’ai crée mon cabinet d’Architecte en profession libérale en m’installant à Meudon, pour entreprendre de nombreux projets de réhabilitation, de construction et d’entretien d’immeuble parisien de grand standing et pour assurer également plusieurs missions d’assistance à Maîtrise d’ouvrage et de conception sur des projets de grandes envergures institutionnels évènementiels. Depuis 2008, j’ai contribué en tant qu’architecte et scénographe à la réalisation d’importants sommets internationaux organisés par la France et me suis investis depuis 2007 dans la construction en bois, notamment dans la conception de bâtiment écologique. J’ai reçu à cet effet le prix du public de la filière bois de l’Indre en 2011.
Cette passion de l’architecture et de la scénographie, m’a permis de remporter plusieurs marchés publics d’expert architecte auprès du Ministère des Affaires Etrangères pour l’assistance, la conception, l’organisation et le suivi des grands sommets internationaux et du Ministère de la Culture pour l’assistance à maitrise d’ouvrage et la maîtrise d’œuvre pour les cérémonies du 14 Juillet sur les Champs-Elysées et les cérémonies de Panthéonisation à Paris.
Depuis 2020, je m'intéresse à la création industrielle de l'objet du futur du quotidien en relation avec le domaine de l'Art contemporain et l'Art Urbain, pour répondre à la nouvelle révolution industrielle et technologique qui s'annonce, notamment en France.